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BADSLEEP PROJECT

Test Subject #17

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DON'T LIE TO ME. YOU KNOW WHAT IS A SNUFF MOVIE, RIGHT ?

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Matricule: M2009-BSTS17

Status: Presumed deceased

Experiment Result: Failure

Project: Interrupted

Article 279 du Serment de Nergal:  Sous ordre de la  direction d'Avengard Corporation, le projet Badsleep est immédiatement interrompu. L'Aile F devra être condamnée, les corps des sujets tests brûlés et tout les scientifiques affiliés à l'expérience dûment réduits au silence. Dorénavant Avengard fusionnera tout ses pôles de recherches et n'acceptera plus aucune collaboration. Aucune autre expérience similaire ni même basée d'une manière ou d'une autre sur le projet Badsleep ne devra être réitérée sous peine de torture et de mort autorisées par le gouvernement du pays hôte.

[rec]

BADSLEEP PORN

Childporn, tortureporn and snuff movies production

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A STRANGER IS WATCHING

Le projet était simple. C'était la première fois que le médecin en chef voyait un dossier d'expérimentation aussi mince. De la description jusqu'au protocole il n'y avait que dix pages. La sécurité, elle, tenait sur une seule. Contrairement à certains autres projets colossaux d'Avengard -dont le dossier se scindait en 5 classeurs-, le projet Badsleep était aussi simple que cruel. Une vingtaine d'enfants enfermés dans une l'Aile la plus petite du complexe. Un dortoir, un cabinet médical, un semblant de cantine et une salle qu'ils avaient appelé "the Red Room". Si chaque jour les sujets devaient passer au contrôle médical et prendre de la médication altérant leur sommeil, l'expérience n'était pas à but génétique. La plus grande partie du traitement était basée sur la torture dans le but d'étudier les cauchemars et de percer tout leurs secrets pour pouvoir s'en servir à des fins militaires d'un côté et pharmacologiques de l'autre. La consigne donnée avait été de soumettre les sujets tests à des conditions traumatiques extrêmes et régulières. C'était sous la direction des scientifiques et du médecin en chef que les gardes exécutaient des actes monstrueux: De la torture mentale et physique jusqu'aux sévices sexuels, tout leur été permis le temps qu'ils les pratiquaient  dans le cadre de l'expérimentation pour une durée précise. La seconde condition était que les sujets restent vivants. Cependant, des abus furent discrètement mis sous scellé par une poignée d'employés voyant en ce projet un moyen efficace et protégé d'assouvir leurs envies les plus tordues tout en les enregistrant. Si le traitement de base était déjà d'une ignominie sans borne de par une curiosité scientifique sans éthique, il a bien rapidement pris des allures de torture porn et de pédopornographie. La direction fut fatalement mise au courant et, même si certains se sont indignés, aucune mesure n'a été prise: Les enregistrements rapportaient bien trop d'argent. Privation de sommeil ou hypersomnie forcée, enfermement, sévices en tout genre et esclavage sexuel, ses conditions ont fini par réduire l'effectif des sujets de moitié que ce soit de part des suicides infantiles ou des pulsions étant allées trop loin. Au fil des années, le projet Badsleep avait perdu de vue son but, bien qu'il fut déjà peu louable de base. Aucun résultat stables, aucune conclusion scientifique en cinq ans. Jusqu'au jour où des événements et des comportements étranges ont commencé à se manifester. Les sujets tests semblaient avoir beaucoup plus peur de dormir que de passer dans la Red Room. Certains suppliaient de ne pas arrêter la privation de sommeil, d'autres se faisait violemment mal pour s'empêcher de dormir. Sans somnifères, les enfants refusaient catégoriquement de fermer l'oeil. Ils allaient plus volontiers vers le viol et la torture que dans leur lit. La moitié des sujets tests ont commencé à perdre leur santé mentale au fur et à mesure que le temps passait. Ils parlaient d'un monstre, d'une chose indescriptible. Bien entendu, le médecin en chef a tout d'abord conclu qu'il  s'agissait seulement du résultat de plusieurs années de sévices quotidiens. Une réflexion logique, en somme. Et puis, d'autres événements sont apparus. Le matériel de surveillance qui dysfonctionnait, des traces et des blessures inconnues retrouvés sur le corps de patients à leur réveil... Jusqu'à ce que tout dégénère. Le projet Badsleep avait engendré un mal si profond qu'il en avait réveillé quelque chose qui n'aurait jamais durouvrir l'oeil. Les manifestations surnaturelles se firent de plus en plus violentes, jusqu'à ce que le personnel décide de condamner l'Aile F. Les enfants furent livrés à eux même: les sévices prirent fin mais leur condition était encore pire. Mourants de faim entre quatre murs et à la merci de cette Chose. lors de leur sommeil, Elle les tourmentait, les effrayaient pour son bon plaisir. Tous craignait de dormir car parfois, un sujet se faisait dévorer. Ils se faisaient cueillir, un par un, si bien qu'en quelques mois il ne restait plus que deux survivants. Du jour au lendemain, le dortoir était vide.

Le cadavre à moitié dévoré du sujet 16 sur le sol, les murs tapissés de sang et de griffures, et aucune trace du sujet 17.

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