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Le lycée est une jungle de casiers et de salles de classes. Entre les Apex Predators aux vestes jersey et les lionnes en jupes de Cheerleader, tout ceux qui n'entrent pas dans la définition scolaire du mot 'populaire' deviennent des proies sur un terrain de chasse géant. Il est bien connu que les adolescents sont cruels entre eux et si Riley a apprit à manipuler les adultes avec une perfection terrifiante, les jeunes de son âge peuvent se montrer beaucoup plus avides de sang qu'il n'y paraît. A la manière d'un clan de hyènes, d'une meute de loup ou tout simplement d'une quelconque horde d'animaux aimant chasser en groupe, les Jocks d'Hopefield Highschool repère les âmes les plus esseulées et vulnérables de l'établissement pour, ensuite, jouer avec eux avant de les dévorer tout crus. Des allures d'ange au visage de poupée, des yeux de 'clébard' comme diraient les autres, un style vestimentaire décalé, une homosexualité assumée et une fâcheuse tendance solitaire l'exilant de ses camarades, Riley était une cible parfaite. Malgré tout, il paraîtrait logique de ne pas s'en prendre à un psychopathe clinique n'est-ce pas? Le fait est qu'être mauvais et creux comme Harris n'évite pas les coups et l'humiliation. Encore plus lorsqu'on enfile un masque pour cacher sa véritable personnalité. En quelques mots, Riley aurait bien pu les amadouer mais jamais on ne lui laissait le temps d'user de manipulation. Il était différent et les prédateurs du lycée, eux, détestaient ce qui était différent. Le jeune homme était une brebis galeuse, un bouc émissaire parfait que la hiérarchie de l'établissement ne prendrait même pas la peine à défendre. La seule différence entre lui et les autres malchanceux pris en grippe par l'équipe de football de Mike Janssen et compagnie, c'était que rien n'atteignait véritablement Riley. Les insultes? Il les ignorait sans peine. Les bourrades violentes contre les casiers et les moqueries? Il levait les yeux au ciel d'un air vaguement exaspéré avant de partir, bouquins plaqués contre le torse. Agressions physiques et coups brutaux? Riley y avait d'abord répondu avec brutalité, allant jusqu'à casser les dents d'un autre élève ou encore d'éclater le visage d'un sportif avec son skateboard. C'est lorsqu'il a vu les retombés catastrophiques de ses actes et les conséquences qui suivaient qu'il a décider que, pour sa propre tranquillité, mieux valait pour lui qu'il ne réponde pas. Après tout, le gosse savait qu'ils finiraient par se lasser à force de ne pas obtenir de réaction. Il subissait donc sans rien dire, le dire à quelqu'un n'était pas une solution qui lui effleura l'esprit, faire quelque chose ne lui apportait rien. Le fait est que le manque de réaction du jeune homme n'avait fait que d'attiser un peu plus encore la rage et la frustration de ses détracteurs. Pour qui se prenait-elle, cette petite pédale? Les sportifs s'épanchaient de larmes, se nourrissaient de supplications. Résister n'était pas une option qui leur convenait. Ils voulaient des réactions, réactions que Riley ne leur donnait pas. Par conséquent, cela les avait conforté dans l'idée de s'en prendre encore et encore à lui jusqu'à ce qu'ils le fassent céder. Jusqu'à ce qu'ils puissent voir de la faiblesse ainsi que l'éclat aveuglant de quelques larmes sur ce visage que rien ne semblait faire flancher. 

THEY SAID ALL TEENAGERS SCARE THE LIVING SHIT OUT OF ME 'CAUSE

 

THEY COULDN'T CARE LESS AS LONG AS SOMEONE'LL BLEED

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Guidés par la fierté, persuadés d'être les Rois du monde, l'équipe avaient finalement eu ce qu'ils voulaient. Une journée dont les activités se concentrent majoritairement dehors, un timing remarquablement calculé et les toilettes du dernier étage pour scène de crimes, les Wild Jackals d'Hopefield Highschool s'étaient rassemblés comme des prédateurs autour d'une proie. Bien que ce soit lui le gosse déphasé sans empathie, leurs humiliations perdurèrent jusqu'à atteindre un point de non retour.  Puis ils l'abandonnèrent, nu, tremblant et souillé sur le carrelage élimé. Suite à ce que le proviseur du lycée appela "un malencontreux accidents aux faits grandement exagérés", l'adolescent déserta l'établissement une bonne semaine. L'excuse qu'il avait donné à ses parents? Des soi disantes crises d'angoisse qu'il savait feindre convenablement et une vague histoire de rackette expliquant le pourquoi du comment de ces ecchymoses. Avaient-ils besoin de savoir la vérité? L'étendu des dégâts? Ce que ces garçons lui faisaient dans les vestiaires toutes les semaines? Ce qu'ils avaient putain de fait dans ces toilettes? Non. Comme pour le restes, cela ne lui apporterait que d'autres nuisances. Riley fit donc ce qu'il savait faire de mieux: enfiler un masque, faire comme si rien ne s'était passé. De toute manière ils allaient le payer. Par l'Enfer, ils ne savaient pas ce qui les attendait.  A son retour au lycée, Riley continua de faire profil bas. Outre l'intolérance extrême que ce dernier avait développé pour les contacts physiques, rien ni personne n'aurait pu se douter de quelque chose.  Durant la pause, une situation habituelle attira l'attention du rouquin aux yeux vairons: Les rires et les indignations se mélangeaient dans une cacophonie inhabituelle. Les sportifs ne poussaient plus personne dans les couloirs et les élèves lambdas ne discutaient plus tranquillement entre eux avant le début de leur premier cours. Jamais il n'avait encore vu cela. C'est une fois que Dane réussi à traverser la foule attroupé autour du Bulletin Boards du couloir qu'il pu voir la source d'une telle distraction. Au début, le grand blond  cru percevoir des images tirées tout droit d'un porn gay amateur tourné dans des toilettes. Certainement une mauvaise blague destinée à faire rager les surveillants du lycée. Ce n'est qu'en s'y attardant un peu plus que Dane remarqua que le garçon dessus n'était pas inconnu. Les yeux du grand blond s'écarquillèrent, sa bouche s'entrouvrit. Le garçon sur ces photos obscènes, c'était Riley. Le grand blond tourna lentement la tête vers son meilleur ami, le visage livide, espérant qu'il n'avait rien vu. Mais les iris disparates et vides de Riley n'en avaient rien perdu.

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Your face is so cute... Let me destroy it.

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RAPE ME, DO IT AND DO IT AGAIN. WASTE ME. RAPE ME, MY FRIEND.

RAPE ME. RAPE ME, MY FRIEND. RAPE ME AGAIN.

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